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12/11/2011

Citation

getThumbnail.jpg"Une bonne fiction n'a pas à ressembler à la vie réelle ; c'est la vie qui essaie de toutes ses forces de ressembler à une bonne fiction."

Isaac Babel

Cité par Gille Heuré dans Télérama n° 3226

01/11/2011

Salon d'Evreux les 5 et 6 novembre

SAlon d'Evreux001.jpgUn salon où je serai présent avec plein de beau monde dont on trouvera utilement le programme détaillé , ainsi que  les participants , là : Salon d'Evreux, participants.png

A noter une lecture croisée des Blue Cerises le dimanche à 14h30, en présence (rarissime !) des quatre auteurs...

14/10/2011

Mademoiselle Scaramouche, un document très utile...

51JB5NN2M6L._SS500_.jpgLorsque j'écrivais Mademoiselle Scaramouche, une exposition aux Archives nationales présentait le plan de Turgot (un siècle plus tardif que mon histoire, mais bon, Paris n'avait pas radicalement changé...), avec reconstitution d'une rue de Paris où se promenaient des comédiens, en bretteurs, en marchands, en bourgeois, en nobles, etc...

J'ai pu ainsi me balader, grandeur nature, dans mon histoire, et presque aux côtés de mes personnages.

Le livre paru à cette occasion (ci-contre) regorge de documents, peintures, dessins, portraits, photos et histoires des lieux. A chaque instant, je savais où se trouvaient tous mes personnages et combien de temps ils devaient mettre pour aller d'un endroit à un autre, si Paris était, dans ce quartier, plutôt rural ou urbain, etc...

Plan Turgot petit.jpg

Turgot, extrait.png

En regardant bien, on peut voir Zinia se cacher dans un des bateaux.

Mademoiselle Scaramouche : quelques uns des livres consultés.

Capture d’écran 2011-10-13 à 22.58.59.pngOn me demande parfois ce que j'ai dû lire pour me documenter pour écrire Mademoiselle Scaramouche. Bien sûr, j'ai consulté des livres, des documentaires historiques, et, également, des romans et des livres de l'époque. J'ai même relu des calssiques du genre. Mais, pendant plusieurs années, j'ai aussi été à l'affût de lieux, de maisons, j'ai pris des photos diverses et variées en me baladant. J'ai aussi puisé de la documentation icono un peu partout, livre, net, etc.

Pour les livres consultés, voici une liste téléchargeable : Mademoiselle Scaramouche, livres consultés.pdf.

Mademoiselle Scaramouche

Lorsque j'ai écrit ce livre, je me suis entouré de documents divers, et notamment des images qui, outre les visites que j'ai pu faire, m'ont aidé à voyager dans le temps et à mieux voir cette année 1672 où se déroule l'histoire de Zinia. En voici quelques unes...

salpetriere.jpg

La Salpétrière à l'époque, où se déroule tout une scène du livre.

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Quelques vues de Paris

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Et Versailles !

13/10/2011

Sélections pour des prix de saison

scaramouche.jpgScara-couv-petite.jpgMademoiselle Scaramouche a été sélectionnée :

- pour participer au prix des Incorruptibles 2011-2012 dans la catégorie 5e/4e.

- pour le Prix des dévoreurs de livre à Evreux, 2011.

- pour le Prix du Roman historique de la Vienne 2011.

- pour le prix Ados 2012 Rennes - Ile et Vilaine

- pour le Prix Escapade 2011-2012 de l'Indre

- pour le 4ème prix littéraire adolescent du département des Hautes Pyrénées 2011-2012.

(re) Paru !

 

bluescerise2.jpgbluecerises3.jpg Réédition en un seul volume des Blue Cerises. La saison 1, quatre textes réunis sous le titre de la nouvelle de Zik, "L'ange des Toits" et la saison 2, toujours quatre textes, réunis sous le titre de celui d'Amos "Rôde movie".

Pour en savoir plus, une première info là.

La saison 3 sera rééditée en novembre, et la nouvelle, la petite dernière paraitra en début 2012, pour clore cette longue histoire d'amitié et de plein d'autres choses.

13/05/2011

Paru !

moi je lis-mai2011-75DPI.jpgScarlett opus 4 paru dans le numéro de mai de Moi je Lis (n°282). Avec toujours des illustrations de Mélanie Allag.

 Comme d'hab', le début pour vous mettre en bouche...

Le bonheur absolu, ça existe. Si.

Exemple : ce matin. Réveillée à onze heures, levée une quarantaine de minutes plus tard, pas de toilette, je me prépare un petit déj-3m (Miel-Mimolette-Moutarde) qui s’harmonise fabuleusement avec un chocolat chaud (2C). J’emporte le tout sur un plateau et, le pyjama en accordéon, je me cocoone dans le canapé. Enfin, sur l’extrémité que sa majesté Watson accepte de me concéder.

D’un doigt de pied agile j’effleure la télécommande, zappe, et finis par me légumer devant « L’Amour aux Caraïbes », une série que je connais mal. Si je veux tenir ma place dans les discussions à la récré, j’ai intérêt à réviser.

Pouuuuh ! (soupir d’aise) Maman est partie au boulot à une heure indécente, Tiffanie Toyger, ma prof de SVT est malade et mon prof de français, Monsieur Léautaud, anime un stage quelque part, loin. Bilan : pas de collège. Mercredi tendance méga cool.

Watson change légèrement de place, me pétrit le ventre de ses griffounettes avant de se lover encore plus confortablement sur mes cuisses. Je reprends une gorgée de chocolat. Mmmm, tranquille, trop tranq…

« Ding dong ! » se permet la sonnette.

Paru !

2065-3-empruntedesreves.jpgQuatrième de couverture :

Émile Kolaux, 13 ans, a trouvé une solution originale pour tromper l’ennui : voyager dans le futur. Cette fois encore, Émile se retrouve en 2065, face à une catastrophe écologique qui le fait réfléchir sur ses gestes quotidiens et leurs conséquences dramatiques pour l’avenir. Après avoir reçu du futur (un autre futur que celui du tome I, paradoxe temporel oblige !) un appel au secours de la belle Alaska, Émile repart en 2065, cette fois à Paris.

 

En voici les premières lignes :

Le drame s’était produit ce mercredi à douze heures, quarante-trois minutes et vingt-neuf seconde. Environ. Rien ne le laissait prévoir.

Je rentrais du collège. Avec sa nouvelle mobylette, Thomas m’avait déposé au pied de l’immeuble. Depuis une semaine, il n’arrêtait pas de balader ses chromes rutilants dans toutes les rues de Saint-Port-Sur-Mer, espérant ainsi reconquérir le cœur de Mélanie. À mon avis, il ne s’y prenait pas de la meilleure façon.

Mais ce n’était pas ça le drame.

L’ascenseur m’a déposé devant la porte de l’appartement. Je suis entré, j’ai allumé mon ordi et l’ampli, j’ai lancé une machine pour laver les trois assiettes et les deux verres qui traînaient (je suis un bon fils), j’ai allumé la télé, pour voir, et je me suis décongelé une pizza, vu que j’avais une faim tendance Koh-Lanta épisode dix.

Mais le drame, ce n’était pas ça.

Une fois la pizza avalée, et le dernier noyau d’olive recraché, j’ai attrapé deux étuis de Bounty, une brique de jus d’orange et je me suis réfugié dans ma chambre pour régler leur compte aux envahisseurs de World Distroy Conquest VI. Depuis deux semaines, ces maudits pixels me coinçaient dans une grotte du troisième niveau dont je ne parvenais pas à m’extirper.

Mais, non, le drame, ce n’était pas encore ça...

25/03/2011

Pondichéry, suite

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